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Montpellier : Une capitaine de gendarmerie grièvement brûlée après s’être immolée (Suicide)

Un drame horrible vient de frapper les rangs de la gendarmerie nationale ce mercredi 16 mars 2022.

Une capitaine de gendarmerie s’est immolée dans le quartier de Celleneuve-Alco. Comme le relate Actu.fr, cette officier militaire arrivée en voiture a aspergé ses vêtements d’essence et a tout enflammé avec un briquet. Report Ad about:blank

Brûlée sur 40% du corps au 3ème degré

Elle est alors sorti de la voiture transformée en torche vivante. Des témoins, horrifiés sont intervenus en utilisant notamment un extincteur. La victime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers du Sdis 34 et le Smur-Samu 34.

Souffrant de brûlures sur 40% du corps au 3ème degré, son pronostic vital était engagé. Âgée de 40 ans environ et mère d’un enfant, elle est en poste au service des Relations Humaines au groupement de gendarmerie de l’Hérault. Report Ad

Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la Sécurité publique du commissariat central de Montpellier. Les enquêteurs devront faire la lumière sur cette tentative de suicide publique.

Source : Actu Pénitentiaire

Montpellier. Suicide : la capitaine de gendarmerie est décédée

Publié le 17 Mar 22 à 19:42 mis à jour le 17 Mar 22 à 20:22

La capitaine de gendarmerie, Nadia M., qui s’était immolée mercredi à Montpellier, est décédée.

La capitaine de gendarmerie, Nadia M. âgée de 40 ans, qui s’était immolée mercredi à Montpellier, est décédée dans le service des grands brûlés du CHU. Elle avait été secourue à 17h30 dans un état désespéré, brûlée au 3ème degré sur 40% du corps, après s’être transformée en torche vivante en sortant de sa voiture garée sur le parking du drive d’un hypermarché du quartier de Celleneuve-Alco.

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Nadia M. était cheffe du service des Relations Humaines au groupement de gendarmerie de l’Hérault, caserne de Font-Couverte, à Montpellier, après avoir été en poste comme directrice de la communication au groupement de gendarmerie du Rhône, à Lyon. A la Région de gendarmerie Rhône-Auvergne, elle était qualifiée de « gendarme de coeur ». Elle était en arrêt maladie pour dépression. Les Képis Pescalunes lui rendent hommage sur les réseaux sociaux : elle était impliquée dans cette association basée dans l’Hérault qui multiplie des actions solidaires, notamment pour les orphelins de la gendarmerie.

Selon nos informations, elle aurait appris mercredi matin qu’un juge des enfants allait lui retirer la garde de son fils âgée 5 ans. L’émotion est grande ce jeudi, tant au sein des gendarmes du Rhône-Auvergne, que ceux de l’Hérault. Les policiers de la Sécurité publique du commissariat central de Montpellier sont chargés de l’enquête.

Source : Actu.fr

Source : Profession-Gendarme